Nicolas Fauqué - Photographe

Le Palais et le Président

9 mars : Moncef Marzouki dans son bureau lors de notre rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Le Président a repris le bureau de Habib Bourguiba, abndonné sous Ben Ali, le bureau de ce dernier a été transformé en salle d'accueil.
9 mars : Moncef Marzouki dans son bureau lors de notre rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Le Président a repris le bureau de Habib Bourguiba, abndonné sous Ben Ali, le bureau de ce dernier a été transformé en salle d'accueil.
9 mars : Moncef Marzouki dans son bureau lors de notre rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Le Président a repris le bureau de Habib Bourguiba, abndonné sous Ben Ali, le bureau de ce dernier a été transformé en salle d'accueil.
9 mars : Moncef Marzouki dans son bureau lors de notre rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Le Président a repris le bureau de Habib Bourguiba, abndonné sous Ben Ali, le bureau de ce dernier a été transformé en salle d'accueil.
9 mars : Moncef Marzouki et la visite du Palais présidentiel lors de la rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Ici dans le salon des tableaux des Beys de Tunisie.
9 mars : Moncef Marzouki et la visite du Palais présidentiel lors de la rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Ici dans le salon des tableaux des Beys de Tunisie.
9 mars : Moncef Marzouki et la visite du Palais présidentiel lors de la rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Ici sur la scène du petit théâtre construit par Habib Bourguiba dit la "Bonbonnière" par le nouveau président qui souhaite le remettre en fonctionnement et l'ouvrir à tous les tunisiens.
9 mars : Moncef Marzouki et la visite du Palais présidentiel lors de la rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Ici sur la scène du petit théâtre construit par Habib Bourguiba dit la "Bonbonnière" par le nouveau président qui souhaite le remettre en fonctionnement et l'ouvrir à tous les tunisiens.
9 mars : rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Dans les sous sols du Palais, à son arrivée le Président a découvert une série de salles où avait été entreposés par Ben Ali à même le sol les souvenirs, cadeaux, tableaux et scupltures de l'époque de Bourguiba, ainsi que de très nombresues archives photos et textes. Tous ces objets du passé vous être remis pour la création d'un grand musée de Habib Bourguiba à Monastir.
9 mars : rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Dans les sous sols du Palais, à son arrivée le Président a découvert une série de salles où avait été entreposés par Ben Ali à même le sol les souvenirs, cadeaux, tableaux et scupltures de l'époque de Bourguiba, ainsi que de très nombresues archives photos et textes. Tous ces objets du passé vous être remis pour la création d'un grand musée de Habib Bourguiba à Monastir.
9 mars : rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Dans les sous sols du Palais, à son arrivée le Président a découvert une série de salles où avait été entreposés par Ben Ali à même le sol les souvenirs, cadeaux, tableaux et scupltures de l'époque de Bourguiba, ainsi que de très nombresues archives photos et textes. Tous ces objets du passé vous être remis pour la création d'un grand musée de Habib Bourguiba à Monastir.
9 mars : rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Dans les sous sols du Palais, à son arrivée le Président a découvert une série de salles où avait été entreposés par Ben Ali à même le sol les souvenirs, cadeaux, tableaux et scupltures de l'époque de Bourguiba, ainsi que de très nombresues archives photos et textes. Tous ces objets du passé vous être remis pour la création d'un grand musée de Habib Bourguiba à Monastir.
9 mars : rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Dans les sous sols du Palais, à son arrivée le Président a découvert une série de salles où avait été entreposés par Ben Ali à même le sol les souvenirs, cadeaux, tableaux et scupltures de l'époque de Bourguiba, ainsi que de très nombresues archives photos et textes. Tous ces objets du passé vous être remis pour la création d'un grand musée de Habib Bourguiba à Monastir.
9 mars : rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. La salle des conseils de Ministres de Ben Ali, Marzouki s'attache à ne plus l'utiliser.
9 mars : rencontre avec M. Moncef Marzouki, président de la République depuis le 13 décembre 2011, au Palais Préisdentiel de Carthage. Sur la terrasse du palais de carthage qui surplombe le port et le golfe de Carthage. Au loin Boukornine la colline qui domine la ville de l'enfance de Marzouki, Hammam Lif.
12 mars : le fauteuil du président dans le salon doré au Palais Présidentiel de Carthage, le président de la République a présidé une cérémonie de lever du drapeau tunisien. Au cours de cette cérémonie, Moncef Marzouki a décoré l'étudiante Khaoula Rchidi et lancé un message à toute personne qui touche au drapeau " symbole d’un peuple musulman ". La semaine dernière a été marquée par les incidents qui ont eu lieu à la faculté de la Mannouba. La jeune étudiante, Khaouala Rchidi, décorée de l'ordre de la République, était émue : "Je n’ai pas réfléchi, je regardais ce qu’il était en train de faire et j’ai tout de suite réagi. Je suis gafsienne et j'ai le sang chaud. C'est peut être pour cela que j'ai intervenu. Notre drapeau est cher, il ne faut pas ne négliger". Après le discours, l'hymne national a été chanté avec beaucoup d'émotion par les personnes présentes. Khaoula Rchidi a ensuite été accueillie dans le salon doré et décorée par le président : "Ce qu'elle a fait est exceptionnel, elle a défendu la Tunisie. C'était la force morale face à la force physique" a-t-il avoué. L'étudiante membre de l'UGET, Amel Aloui, qui a été agressée durant les incidents de la faculté de la Mannouba, a également rencontré Moncef Marzouki et a été applaudie par les présents.
12 mars : dans la cour, les gardes présidentiels se préprarent pour la cérémonie hebdomadaire du drapeau au Palais Présidentiel de Carthage, le président de la République a présidé une cérémonie de lever du drapeau tunisien. Au cours de cette cérémonie, Moncef Marzouki a décoré l'étudiante Khaoula Rchidi et lancé un message à toute personne qui touche au drapeau " symbole d’un peuple musulman ". La semaine dernière a été marquée par les incidents qui ont eu lieu à la faculté de la Mannouba. La jeune étudiante, Khaouala Rchidi, décorée de l'ordre de la République, était émue : "Je n’ai pas réfléchi, je regardais ce qu’il était en train de faire et j’ai tout de suite réagi. Je suis gafsienne et j'ai le sang chaud. C'est peut être pour cela que j'ai intervenu. Notre drapeau est cher, il ne faut pas ne négliger". Après le discours, l'hymne national a été chanté avec beaucoup d'émotion par les personnes présentes. Khaoula Rchidi a ensuite été accueillie dans le salon doré et décorée par le président : "Ce qu'elle a fait est exceptionnel, elle a défendu la Tunisie. C'était la force morale face à la force physique" a-t-il avoué. L'étudiante membre de l'UGET, Amel Aloui, qui a été agressée durant les incidents de la faculté de la Mannouba, a également rencontré Moncef Marzouki et a été applaudie par les présents.
12 mars : dans la salle de cérémonie les corps des forces de l'ordre tunisien se mettent en place pour la cérémonie. Au Palais Présidentiel de Carthage, le président de la République a présidé une cérémonie de lever du drapeau tunisien. Au cours de cette cérémonie, Moncef Marzouki a décoré l'étudiante Khaoula Rchidi et lancé un message à toute personne qui touche au drapeau " symbole d’un peuple musulman ". La semaine dernière a été marquée par les incidents qui ont eu lieu à la faculté de la Mannouba. La jeune étudiante, Khaouala Rchidi, décorée de l'ordre de la République, était émue : "Je n’ai pas réfléchi, je regardais ce qu’il était en train de faire et j’ai tout de suite réagi. Je suis gafsienne et j'ai le sang chaud. C'est peut être pour cela que j'ai intervenu. Notre drapeau est cher, il ne faut pas ne négliger". Après le discours, l'hymne national a été chanté avec beaucoup d'émotion par les personnes présentes. Khaoula Rchidi a ensuite été accueillie dans le salon doré et décorée par le président : "Ce qu'elle a fait est exceptionnel, elle a défendu la Tunisie. C'était la force morale face à la force physique" a-t-il avoué. L'étudiante membre de l'UGET, Amel Aloui, qui a été agressée durant les incidents de la faculté de la Mannouba, a également rencontré Moncef Marzouki et a été applaudie par les présents.
12 mars : dans la salle de cérémonie les corps des forces de l'ordre tunisien se mettent en place pour la cérémonie. Au Palais Présidentiel de Carthage, le président de la République a présidé une cérémonie de lever du drapeau tunisien. Au cours de cette cérémonie, Moncef Marzouki a décoré l'étudiante Khaoula Rchidi et lancé un message à toute personne qui touche au drapeau " symbole d’un peuple musulman ". La semaine dernière a été marquée par les incidents qui ont eu lieu à la faculté de la Mannouba. La jeune étudiante, Khaouala Rchidi, décorée de l'ordre de la République, était émue : "Je n’ai pas réfléchi, je regardais ce qu’il était en train de faire et j’ai tout de suite réagi. Je suis gafsienne et j'ai le sang chaud. C'est peut être pour cela que j'ai intervenu. Notre drapeau est cher, il ne faut pas ne négliger". Après le discours, l'hymne national a été chanté avec beaucoup d'émotion par les personnes présentes. Khaoula Rchidi a ensuite été accueillie dans le salon doré et décorée par le président : "Ce qu'elle a fait est exceptionnel, elle a défendu la Tunisie. C'était la force morale face à la force physique" a-t-il avoué. L'étudiante membre de l'UGET, Amel Aloui, qui a été agressée durant les incidents de la faculté de la Mannouba, a également rencontré Moncef Marzouki et a été applaudie par les présents.
12 mars : Moncef Marzouki épingle son pins du drapeau tunisien à la jeune étudiante Khaoula Rchidi au Palais Présidentiel de Carthage, le président de la République a présidé une cérémonie de lever du drapeau tunisien. Au cours de cette cérémonie, Moncef Marzouki a décoré l'étudiante Khaoula Rchidi et lancé un message à toute personne qui touche au drapeau " symbole d’un peuple musulman ". La semaine dernière a été marquée par les incidents qui ont eu lieu à la faculté de la Mannouba. La jeune étudiante, Khaouala Rchidi, décorée de l'ordre de la République, était émue : "Je n’ai pas réfléchi, je regardais ce qu’il était en train de faire et j’ai tout de suite réagi. Je suis gafsienne et j'ai le sang chaud. C'est peut être pour cela que j'ai intervenu. Notre drapeau est cher, il ne faut pas ne négliger". Après le discours, l'hymne national a été chanté avec beaucoup d'émotion par les personnes présentes. Khaoula Rchidi a ensuite été accueillie dans le salon doré et décorée par le président : "Ce qu'elle a fait est exceptionnel, elle a défendu la Tunisie. C'était la force morale face à la force physique" a-t-il avoué. L'étudiante membre de l'UGET, Amel Aloui, qui a été agressée durant les incidents de la faculté de la Mannouba, a également rencontré Moncef Marzouki et a été applaudie par les présents.
12 mars : dans la salle de cérémonie les corps des forces de l'ordre tunisien, ici la garde présidentielle, se mettent en place pour la cérémonie. Au Palais Présidentiel de Carthage, le président de la République a présidé une cérémonie de lever du drapeau tunisien. Au cours de cette cérémonie, Moncef Marzouki a décoré l'étudiante Khaoula Rchidi et lancé un message à toute personne qui touche au drapeau " symbole d’un peuple musulman ". La semaine dernière a été marquée par les incidents qui ont eu lieu à la faculté de la Mannouba. La jeune étudiante, Khaouala Rchidi, décorée de l'ordre de la République, était émue : "Je n’ai pas réfléchi, je regardais ce qu’il était en train de faire et j’ai tout de suite réagi. Je suis gafsienne et j'ai le sang chaud. C'est peut être pour cela que j'ai intervenu. Notre drapeau est cher, il ne faut pas ne négliger". Après le discours, l'hymne national a été chanté avec beaucoup d'émotion par les personnes présentes. Khaoula Rchidi a ensuite été accueillie dans le salon doré et décorée par le président : "Ce qu'elle a fait est exceptionnel, elle a défendu la Tunisie. C'était la force morale face à la force physique" a-t-il avoué. L'étudiante membre de l'UGET, Amel Aloui, qui a été agressée durant les incidents de la faculté de la Mannouba, a également rencontré Moncef Marzouki et a été applaudie par les présents.
M13-202
12 mars : Le président Moncef Marzouki dans le salon doré au Palais Présidentiel de Carthage, le président de la République a présidé une cérémonie de lever du drapeau tunisien. Au cours de cette cérémonie, Moncef Marzouki a décoré l'étudiante Khaoula Rchidi et lancé un message à toute personne qui touche au drapeau " symbole d’un peuple musulman ". La semaine dernière a été marquée par les incidents qui ont eu lieu à la faculté de la Mannouba. La jeune étudiante, Khaouala Rchidi, décorée de l'ordre de la République, était émue : "Je n’ai pas réfléchi, je regardais ce qu’il était en train de faire et j’ai tout de suite réagi. Je suis gafsienne et j'ai le sang chaud. C'est peut être pour cela que j'ai intervenu. Notre drapeau est cher, il ne faut pas ne négliger". Après le discours, l'hymne national a été chanté avec beaucoup d'émotion par les personnes présentes. Khaoula Rchidi a ensuite été accueillie dans le salon doré et décorée par le président : "Ce qu'elle a fait est exceptionnel, elle a défendu la Tunisie. C'était la force morale face à la force physique" a-t-il avoué. L'étudiante membre de l'UGET, Amel Aloui, qui a été agressée durant les incidents de la faculté de la Mannouba, a également rencontré Moncef Marzouki et a été applaudie par les présents.
12 mars : au Palais Présidentiel de Carthage, le président de la République a présidé une cérémonie de lever du drapeau tunisien. Au cours de cette cérémonie, Moncef Marzouki a décoré l'étudiante Khaoula Rchidi et lancé un message à toute personne qui touche au drapeau " symbole d’un peuple musulman ". La semaine dernière a été marquée par les incidents qui ont eu lieu à la faculté de la Mannouba. La jeune étudiante, Khaouala Rchidi, décorée de l'ordre de la République, était émue : "Je n’ai pas réfléchi, je regardais ce qu’il était en train de faire et j’ai tout de suite réagi. Je suis gafsienne et j'ai le sang chaud. C'est peut être pour cela que j'ai intervenu. Notre drapeau est cher, il ne faut pas ne négliger". Après le discours, l'hymne national a été chanté avec beaucoup d'émotion par les personnes présentes. Khaoula Rchidi a ensuite été accueillie dans le salon doré et décorée par le président : "Ce qu'elle a fait est exceptionnel, elle a défendu la Tunisie. C'était la force morale face à la force physique" a-t-il avoué. L'étudiante membre de l'UGET, Amel Aloui, qui a été agressée durant les incidents de la faculté de la Mannouba, a également rencontré Moncef Marzouki et a été applaudie par les présents.
Tunisie : les cent jours de Moncef Marzouki
C’est l’anti-Ben Ali. Le président tunisien, militant des droits de l’homme, issu de la société civile, joue le pouvoir modeste. Mais son style déroute.

L’entourage de Moncef Marzouki en convient, le palais de Carthage dispose d’un beau stock de pin’s. Accrochés à la boutonnière du nouveau président, le drapeau tunisien et l’effigie de Mohamed Bouazizi, dont l’immolation par le feu provoqua la première révolution arabe, ne le quittent jamais. Dans la grande salle d’apparat, la cérémonie de décoration de l’étudiante Khaoula Rachidi, qui défendit face à un salafiste le drapeau tunisien à la faculté des lettres de la Manouba, commence, ce 12 mars, par la remise d’un pin’s. Même le service de la sécurité présidentielle possède les siens, « pour se reconnaître », bicolores, rouge et vert. Le signe d’une révolution de palais.

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Reportage photos pour Le Monde

https://www.lemonde.fr/tunisie/article/2012/03/22/tunisie-les-cent-jours-de-moncef-marzouki_1674198_1466522.html